fbpx

Par

ail doux albert menes

Je viens d’acheter un petit pot d’ail doux de la maison Albert Ménès au rayon épicerie fine du Monop’ de l’avenue Mozart à Paris… Et je dois dire que j’aurais mieux fait de lire la contre étiquette avant de craquer cette « gourmandise » à 3,85 € (120g.) Car qu’y voit-on ? Les mêmes cochoncetés que nous refourgue l’industrie agro-alimentaire. Je ne parle pas du produit de base, mais de ces foutus exhausteurs de goût (autorisés bien-sûr, mais sous certaines conditions en France) avec du E621 pour du glutamate monosodique, du E627 pour le guanylate de sodium (non végétarien en plus) et du E631 pour le célèbre inosinate disonique qui peut être extrait parfois de poisson séché, parfois de viande. Est-ce vraiment ce que l’on attend d’un produit haut de gamme ? Non. D’autant que s’ajoutent acidifiants et antioxydant. L’idée qu’il faille faire ses courses avec une loupe devient pénible.contre étiquette ail doux menes

A propos de l'auteur

2 Commentaires

  1. MAM / 2 juin 2015 at 21 h 42 min /Répondre

    Sinon une gousse d’ail : ça vient pas de sortir mais c’est ce qui se fait de plus haut de gamme dans le domaine.
    Que peut on espérer en achetant une conserve ? des conservateurs, et des additifs pour compenser la perte de gout par rapport à un produit frais.
    Lire les étiquettes : d’accord, mais un peu de logique ne fait pas de mal non plus !

    • lecoqgourmand / 2 juin 2015 at 22 h 16 min /Répondre

      Bien-sûr. Mais il arrive aussi qu’en voulant faire vite on fasse confiance à une marque. Ca devrait pouvoir être le cas :). Et puis côté conserve, je ne suis pas d’accord. On peut faire sans.

Laisser un commentaire