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ail doux albert menes

Je viens d’acheter un petit pot d’ail doux de la maison Albert Ménès au rayon épicerie fine du Monop’ de l’avenue Mozart à Paris… Et je dois dire que j’aurais mieux fait de lire la contre étiquette avant de craquer cette « gourmandise » à 3,85 € (120g.) Car qu’y voit-on ? Les mêmes cochoncetés que nous refourgue l’industrie agro-alimentaire. Je ne parle pas du produit de base, mais de ces foutus exhausteurs de goût (autorisés bien-sûr, mais sous certaines conditions en France) avec du E621 pour du glutamate monosodique, du E627 pour le guanylate de sodium (non végétarien en plus) et du E631 pour le célèbre inosinate disonique qui peut être extrait parfois de poisson séché, parfois de viande. Est-ce vraiment ce que l’on attend d’un produit haut de gamme ? Non. D’autant que s’ajoutent acidifiants et antioxydant. L’idée qu’il faille faire ses courses avec une loupe devient pénible.contre étiquette ail doux menes

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